
Audit numérique
Au premier semestre, j’ai participé à un audit de communication pour un événement culturel dans le cadre des SAÉ 101-102. Nous étions un groupe de six étudiants, et nous avons travaillé collectivement à l’analyse d’un dispositif de communication existant.
J’ai personnellement contribué à plusieurs étapes du projet : la phase de recherche documentaire, l’étude comparative de différents festivals similaires, la création d’un moodboard visuel pour comprendre les partis pris graphiques, et la rédaction du rapport d’audit final. L’objectif était de comprendre les forces et les faiblesses de l’identité actuelle de l’événement, en vue d’en proposer une refonte ou une amélioration cohérente.
Ce travail a été réalisé à l’IUT de Toulon, sur plusieurs semaines, dans un esprit collaboratif. Il m’a permis d’aiguiser mon sens de l’analyse visuelle, de renforcer ma capacité à identifier les intentions d’une communication et à justifier une prise de position par des arguments clairs. L’élaboration du moodboard a notamment été un exercice très formateur : il m’a appris à synthétiser visuellement un univers de marque.
Avec du recul, je me rends compte que nos analyses manquaient parfois de profondeur stratégique, faute de recul ou de méthodologie approfondie. Aujourd’hui, je suis davantage capable de poser un diagnostic critique plus argumenté, en croisant l’esthétique, le message et les objectifs. Ce projet m’a fourni des bases solides que j’ai consolidées au semestre 2.
J’ai personnellement contribué à plusieurs étapes du projet : la phase de recherche documentaire, l’étude comparative de différents festivals similaires, la création d’un moodboard visuel pour comprendre les partis pris graphiques, et la rédaction du rapport d’audit final. L’objectif était de comprendre les forces et les faiblesses de l’identité actuelle de l’événement, en vue d’en proposer une refonte ou une amélioration cohérente.
Ce travail a été réalisé à l’IUT de Toulon, sur plusieurs semaines, dans un esprit collaboratif. Il m’a permis d’aiguiser mon sens de l’analyse visuelle, de renforcer ma capacité à identifier les intentions d’une communication et à justifier une prise de position par des arguments clairs. L’élaboration du moodboard a notamment été un exercice très formateur : il m’a appris à synthétiser visuellement un univers de marque.
Avec du recul, je me rends compte que nos analyses manquaient parfois de profondeur stratégique, faute de recul ou de méthodologie approfondie. Aujourd’hui, je suis davantage capable de poser un diagnostic critique plus argumenté, en croisant l’esthétique, le message et les objectifs. Ce projet m’a fourni des bases solides que j’ai consolidées au semestre 2.